Les joies des transports en commun

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J’ai horreur qu’on me dise qui doivent être mes ennemis. Ce que je veux dire par là, c’est que je me suis toujours méfié comme de la peste des médias ou de la pensée générale qui dresse un groupe contre un autre. Public contre privé, droite contre gauche, chômeurs contre travailleurs et surtout usagers des transports publics contre ceux qui y bossent.

Peut-être est-ce du au fait que j’ai un papa qui a été cheminot et que je me suis rendu compte du vrai gros problème de tout ça : les gens se plaignent et critiquent des choses qu’ils ne connaissent tout simplement pas, pas du tout. Par exemple, parmi tous les incroyables privilèges des agents de la SNCF, mon daron avait aussi celui de ne pas pouvoir prendre de congés pendant les vacances des gens (et bah oui, c’est plutôt logique, c’est lors des vacances scolaires qu’il y a le plus de trains, et du coup, le plus de travail pour les petits cheminots qui gèrent tout ce trafic) et du coup, je n’avais pas énormément de vacances avec mon papounet.

Bref, tout ça pour dire que bien que galérant énormément dans les transports en commun, je n’éprouve aucune haine contre ces gens qui bossent à la Seuneuseufeu ou à la RATP, parce qu’ils en pâtissent tout comme nous. Et qu’en plus, ils doivent gérer la colère des usagers. Cependant, il faut bien qu’au bout d’un moment la colère éclate contre quelque chose ou quelqu’un. C’est une réaction normale et légitime. Mais qui viser ? Un peu tout le monde, bien sûr, même les usagers qui sont parfois les premiers à ralentir tout un trafic en voulant se jeter dans des portes qui se ferment (souvent pour seulement quelques minutes de trajet à faire). Mais aussi, d’un point de vu général, ceux qui décident dans l’ombre et à qui mon argent va, des gens qui, à mon avis, n’empruntent pas vraiment les transports en commun mais se permettent de faire la pluie et le beau temps. « L’autorité organisatrice de vos transports en Île de France ». Bon, bah oké, c’est sur toi que je veux gueuler. Autorité, ça veut dire que c’est toi la chef ? Hein ? C’est toi qui organise tout ce beau bordel et qui prend les décisions ? Allez, discutons.

 

Messieurs Mesdames du STIF, décideurs inconscients et pas très commerciaux dans l’âme

Voilà près de 20 ans que je prends les transports en commun et cela fait plusieurs années que je les prends tous les jours, notamment la ligne A du RER. Si mes souvenirs sont bons, cette ligne est la plus empruntée d’Europe, peut-être même du monde et du système solaire entier. Il faut dire qu’elle passe par des endroits ultra importants comme Châtelet-Les Halles (la plus grande gare souterraine au monde), Gare de Lyon (gare qui a pour provenance des trains de Lyon, Marseille, des villes qui ramène du monde, plus la banlieue transilienne), Auber, son opéra, ses grands magasins et ses milliers de touristes, et puis La Défense (le gros quartier d’affaire de Paris, le plus grand d’Europe).

Comme nous pouvons le constater, beaucoup de records, de trucs énormes et très sexys à lire comme ça. Mais il n’y a bien qu’en France que les créateurs de tels concepts peuvent ainsi s’extasier en se mesurant le zizi. Dans les faits, ça implique juste beaucoup de personnes, un trafic dingue, des heures d’affluence impressionnante et une dégradation évidente de la qualité du transport en question. Une dégradation directement liée au « succès » de la ligne A.

Quelques points :

Matériel vétuste, surtout les vieilles rames à un seul étage, les fameuses MI 84 progressivement remplacées par les nouveaux modèles à deux étages et très jolis, les MI 09 (on y reviendra)

– Ligne qui a besoin d’être entretenue et souvent en travaux (on y reviendra)

– Destinations trop nombreuses et manque d’égalité entre certains terminus (on y reviendra !)

Inconfort, chaleur et incivilités aux heures d’affluence (ce qui implique donc des malaises et des retards)

Mauvaise gestion de l’information : ce qui crée encore plus de problèmes.

Une semaine comme les autres

Prenons un exemple, concret : la semaine dernière. (NDLR : l’article a été écrit il y a quelques semaines, mais l’exemple s’applique à TOUTES les semaines). Ce n’est pas une semaine que je prends en particulier pour montrer des exemples terrifiants et une succession d’évènements rares. Non, je prends juste la semaine dernière, comme ça, par facilité, et pour montrer que le bordel c’est TOUT le temps. TOUT LE TEMPS !

Il suffit de suivre des comptes Twitter comme celui (ultra important et à suivre de toute urgence si vous êtes vous aussi un utilisateur de la ligne A) de GaleRER A qui, grâce à un bon réseau d’usagers, permet d’avoir une info assez rapide sur l’état du trafic sur la ligne. Il y a également le compte de Cédric Gentil, conducteur de train de la ligne A, histoire d’avoir un regard différent sur notre bonne vieille ligne, de l’autre côté du miroir.

Revenons à nos moutons : la semaine dernière. Et bien c’est simple, c’est TOUS LES JOURS qu’il y a eu des soucis. ! Et encore, étant donné qu’il y en a eu parfois plusieurs, par souci de clarté, je n’en ai mis qu’un par jour. (Source GaleRERA et ses abonnés)

Lundi 18 : RER A Incident affectant la voie (panne sur un aiguillage) entre Maisons Laffitte et Achères Grand Cormier en + du malaise voyageur

Mardi 19 : Aiguillage bloqué à la défense. Trafic perturbé vers Cergy et Saint Germain

Mercredi 20 : RER A Actes de malveillance à La Défense et panne d’un train à Houilles Carrières sur Seine

Jeudi 21 : RER A Incident technique entre Charles de G. et La Défense, le trafic est ralenti en direction de l’ouest

Vendredi 22 :RER A Trafic perturbé

Voilà ! Une semaine comme les autres pour un usager du RER A ! Le pire, c’est qu’on s’y habitue ! Ceux qui s’y habituent moins, ce sont les gens qui nous attendent lorsqu’on rentre le soir, les soirées annulées sur Paris ou retardées, les patrons qui voient leurs employés arriver en retard etc, etc. Et discuter avec nos compagnons de galère des autres lignes, comme la B (qui est bien nazie, elle aussi) permet vite de se rendre compte que le problème n’est pas uniquement ciblé sur la ligne A.

Ce qu’on peut constater également, c’est qu’il y a des faits contre lesquels, malheureusement, on ne peut pas grand chose. Comme les actes de malveillance, et aussi les suicides et la lourdeur de la procédure qui suit « l’accident grave de voyageur ». Mais les incidents techniques, les aiguillages qui tombent en panne, et les malaises de voyageurs, eux résultent bien de la vétusté du transport et du fait que tout ça ait été parfois mal pensé !

Deux étages sinon rien !

Quand on emprunte la ligne A régulièrement, on est un habitué des deux types de rames qui s’y baladent, et de la petite nouvelle qui fait bien du plaisir : une vieille d’un étage, une moyen vieille de 2 étages, et une toute récente de 2 étages avec des écrans trop stylés qui indiquent les prochaines stations (on y reviendra aussi). C’est joli à dire comme ça, sauf que :

– On retrouve beaucoup de vieilles rames à un seul étage pendant les heures d’affluence. Du coup : train bondé, qui prend du retard sur le quai, malaises, train non climatisé, souffrance, bref, bordel…

– A l’inverse, on retrouve parfois, à des heures creuses de chez creuses, des deux étages complètement vides. J’avais lu une explication là-dessus sur le fait qu’il valait mieux faire circuler les trains avec le plus de capacité pendant les heures creuses parce que, mathématiquement, c’était plus intéressant (je serais incapable de réexpliquer ça, enfin bon), mais il n’empêche que la rage apparait sur les visages des usagers lorsqu’un train blindé à un étage arrive et que, inversement, un putain de beau 2 étages est là aux heures creuses, avec personne à l’intérieur (si ce n’est des voleurs, mais on y reviendra, ne vous inquiétez pas !)

– Les nouvelles rames sont magiques, toutes pimpantes et climatisées, avec des écrans dessus. Sauf que : une fois sur deux les écrans ne marchent pas (hummmm… qui a parlé de dépense inutile ?) Et puis, à l’heure de la publicité à outrance, des spots sur youtube et du fric que peut ramener cette PUB, pourquoi ne pas avoir mis sur ces PUTAINS d’écrans fixes qui n’ont rien à faire d’autre qu’afficher pendant 5 minutes la prochaine station et ses correspondances, des petites bannières publicitaires rapides et discrètes qui permettraient, je sais pas moi, de faire baisser le prix de ce PUTAIN de pass Navigo. Mais on y reviendra aussi. J’aime revenir sur les choses.

Les inégalités, même dans les transports

Je ne vais pas prendre ma faucille et mon marteau non plus mais, bon, je ne vais pas vous faire un dessin, je pense qu’il y a une différence entre le niveau de vie moyen des habitants de Chatou, Saint Germain en Laye et Rueil Malmaison, et ceux de Sartrouville, Poissy, Achères, Cergy and co !

Alors du coup, comment ne pas tilter quand on voit des écrans du genre : Poissy, Saint Germain, Cergy, Saint Germain, Poissy, Saint Germain, Cergy, Saint Germain ?!

Et le voyageur, un brin taquin et la tempe gonflée de sang, voit partir ces rames lustrées et quasi vides, toutes les 5 minutes, avant de voir arriver son vieux MI 84 qui pue la pisse et chargé de milliards de passagers !

L’inégalité sociale, même dans les transports ? Il y a sûrement une splendide explication, mais pour l’usager lambda qui, lui, ne l’a pas, l’explication se résume à un gros fist anal sans usage de lubrifiant.

Les travaux ou l’autre visage de l’enfer

Du coup, on se dit que si le réseau est vieillissant, qu’il faut qu’il soit réparé et remis au goût du jour. Si l’on est un peu intelligent, on essaie donc de ne pas trop pester sur le fait que notre ligne est régulièrement en travaux, depuis deux ans, et qu’il faut, régulièrement, dès 22 heures, emprunter (souvent depuis Saint Lazare) le duo magique : train + bus. Attention, prévoir un rallongement du temps de parcours d’une demi-heure. Petit sourire réjoui.

On l’accepterait, si l’organisation était top. Pourtant… c’est tout sauf le cas.

Des faits :

– Prévoir un rallongement du temps de trajet, ok, mais prévoir également que les horaires ne soient pas forcément respectés et que les trains partent plus tard que les horaires prévus (surtout au départ de Saint Lazare).

– Les gens qui, comme moi, sont malades en bus, peuvent aller se brosser ! Soit on oublie les sorties parisiennes, soit un accepte d’être malade toute la soirée et parfois même le lendemain. Et oui Messieurs du Stif, quand on prévoit de prendre le réseau ferré et qu’on paye pour ça, on est en droit de demander QUE du réseau ferré, surtout si notre estomac ne supporte pas très bien le bus/car !

– Il arrive parfois (trois fois pour mon expérience personnelle) que rien ne soit prévu. Le RER arrive en gare de Sartrouville pour le changement par bus et là… il n’y a pas de bus. Je me souviens avoir attendu 45 minutes pour finalement voir un autre train arriver, en direction de ma ville.

– Depuis peu, toujours à Sartrouville, le changement par bus se fait de l’autre côté de la gare. Non, pas du côté de l’espace immense réservé au stationnement des bus avec de beaux grands trottoirs. Non. Mais du côté de la petite rue avec son minuscule trottoir, où les bus arrivent au compte goutte et où les employés de la SNCF se démènent pour assurer un minimum de sécurité face à la foule de personnes qui s’entasse sur très peu de mètre carré.

– On ne prévoit plus rien, plus de sorties, plus d’extras au boulot si on taffe sur Paris, parce qu’avec une demi-heure à une heure de temps de parcours sur la ligne, le soir, c’est 30 à 1h00 de dodo en moins, soit un impact évident sur la fatigue, sur le travail, sur le moral, bref, une vraie dégradation de la qualité de vie.

– Les week-ends sans train. Oui. Sans train. Va chercher bonheur dans une autre gare, par le bus, ou le RER. Et une fois dans l’autre gare, la connexion n’est pas synchronisée, et tu dois attendre une demi-heure pour aller de POISSY, par EXEMPLE, à Paris, ou Cergy. Et tu sais qu’un RER est parti 5 minutes avant… vide, du coup. Sérieusement, les mecs ?

Alors, en soit, qu’il y ait des travaux, que tout ne se passe pas bien… soyons conciliants, disons-nous que tout ceci va se terminer un jour, que c’est pour notre bien. Pour l’instant, aucune amélioration sur la ligne en terme de taux d’incidents techniques, mais gardons espoir…

Mais là où tout ça commence à ressembler à une belle sodomie avec du sel et du sable, c’est lorsque l’on raque plus de 106 euros par mois pour ça, et qu’on reçoit un mail du STIF pour nous annoncer une nouvelle augmentation. Messieurs, mesdames, je vais vous expliquer quelque chose. Dans la société d’aujourd’hui, l’argent est, qu’on soit d’accord ou pas avec ce fait, le moteur de notre société. De ce fait, lorsque quelqu’un achète quelque chose, il demande à ce que ce quelque chose marche correctement. Si ce n’est pas le cas, il a plusieurs solutions dont les deux suivantes :

– Il rend l’objet en question et demande un remboursement

– Il demande un geste commercial.

Quand ma mère achète un nouveau canapé chez elle et qu’elle le reçoit avec un mois de retard, le magasin lui offre la livraison. Quand j’attends 20 minutes au McDo, le serveur m’offre un dessert. C’est ainsi que ça marche : je te donne mon oseille, mais assure, sinon ça va mal se passer.

Or, pour ce qui nous concerne, rien. Aucun geste commercial n’a été fait par le STIF depuis que j’ai mon pass Navigo, et ça commence à faire un bail. Même pas un tout petit truc, histoire de se dire qu’on ne nous prend pas complètement pour du bétail. C’est dire à quel point vous respectez vos clients, messieurs-dames du STIF.

Vous pensez pas qu’un petit mail du genre « ce mois-ci, nous vous faisons -25% sur votre abonnement en raison de vos galères de fous furieux » ça serait honnête ? C’est le geste qui compte…

Parce que, je vais vous dire un truc, on peut entuber les gens pendant pas mal de temps, mais au bout d’un moment, même les plus placides commencent à s’énerver. J’ai soudain une pensée émue pour mon collègue qui prend une fois par semaine le RER de 19h57… qui est toujours retardé et remplacé par celui de 20h20, sans aucune explication. Même pas une bafouille, rien.

Je me fais contrôler trois fois par an à tout casser. L’amende ne me coûterait même pas le prix d’un mois d’abonnement. Maintenant, si demain, la moitié des usagers, qui en ont marre, se réunissait de façon intelligente (et c’est peut-être le plus complexe dans l’histoire, réussir à réunir les si nombreux usagers d’une ligne, ou d’un type de transport, sans se faire récupérer par une idéologie politique ou nauséabonde, juste dans l’intérêt de tous), et décidait de résilier leur abonnement ? Ça risquerait de vous faire très, très mal. Et si l’idée m’effleure parfois, c’est bien que je ne dois pas être le seul à l’avoir. Et peut-être qu’un jour la coupe sera pleine et débordera.

Il est encore temps de considérer un peu mieux vos clients… Vous remarquerez même que je n’ai pas abordé la question des grèves (qui sont certainement les pires moments à vivre dans la vie d’un usager) que je trouve légitimes, ni même des flics dans le RER qui sont toujours là quand tout va bien mais jamais là pour empêcher les kékés de tirer les portables (je parle en connaissance de cause, grrrrrr…) ou de fumer dans les wagons.

Vaste sujet, vaste débat, ceci dit, parfois, je regarde mon pass Navigo, je regarde mes ciseaux, et j’hésite…

 

 


6 Comments

  1. Annick avril 9, 2013 9:58  

    voilà! j’ai lu jusqu’au bout!
    en effet, que de galères, je compatis….
    (j’ai un peu de mal quand je viens en métropole….)
    j’espère que ces rames à deux étages vont arriver, même aux heures de pointe!
    à cette heure…..je vois la pluie tomber: la saison des pluies nous rattrape….
    allez, gros bisous et à bientôt.

  2. Tita avril 11, 2013 2:58  

    Je suis arrivée au bout de ton article, que je trouve très pertinent.
    Je ne nie pas que bien souvent, les problèmes causés dans les transports sont du fait des voyageurs. Mais il y a aussi parfois des problèmes dus aux conducteurs aussi… Je me rappelle de ce chauffeur de ma ligne de bus que j’empruntais pour aller au lycée, et qui n’hésitait pas à faire un arrêt systématiquement devant le marchand de journaux pour acheter son journal, alors qu’on était généralement pas très en avance…
    Je me souviens aussi de ce chauffeur de bus lors de mon stage en maternité (très tôt le matin donc, sur le coup de 6h00/10) qui prétextait que son retard était de la faute des éboueurs. Stif, RATP, SNCF, en ce qui concerne les bus, devraient aussi être capable de prévoir ce genre de chose je pense..

    J’ai moi aussi souvent penser à découper mon passe Navigo. Depuis 26 ans que je vis en RP, je n’ai jamais fraudé (en tout cas jamais volontairement). Ca m’est arrivée une fois de dépasser ma zone en allant au Parc Astérix, simplement parce que je suis tête en l’air… Bah manque de chance, rang de contrôleur à la sortie. Ils ont bien vu ma surprise, ils ont bien vu que j’étais de bonne foi, mais ça ne les a pas empêché de me coller une prune de 30€ ! Donc par moment je me dis qu’ils ont un quota à atteindre… Idem quand ils montent dans le bus pour faire une chasse aux fraudeurs, et qu’ils arrêtent la circulation pendant 10min pour amasser un max de fric… Je me dis qu’on a beau être honnête, payer 100€ pour le Navigo zone 1 à 4, bah on se fait quand même avoir, alors que d’autres passent au travers des mailles du filet. Alors payer si cher pour un service de cette qualité (retard, foutage de gueule, parce que pour moi ç’en est un par moment), ça me donne envie de plier mon passe Navigo devant leur nez.

    Je me souviens également du père d’un ami, qui en courant pour avoir son bus, a eu un accident. Déjà, son accident a crée des ralentissements. Mais le pire, c’est qu’en voulant gagner quelques minutes, il a fait perdre non seulement du temps aux autres usagers, mais il a également perdu l’usage de ses jambes, son travail, sa vie de père actif et sportif… Cette histoire m’avait beaucoup marqué à l’époque.

    Donc voilà, s’il y a des gens qui lisent cet article: rien ne sert de courir… Il faut prendre le train / bus suivant.

  3. CaliKen avril 11, 2013 3:01  

    Merci pour ta lecture de mon article et ton commentaire, Tita !

    Il est vrai que je n’ai pas abordé la question des bus qui mérite, à elle seule, un bel article. Autant il y a des chauffeurs tout à fait respectables, autant je connais de véritables brutes, que ce soit niveau politesse, conduite, ou respect du code de la route… Surtout dans ma ville.

  4. Laurene avril 13, 2013 12:49  

    C’est sur, si tu habitais Paris… Tu n’aurais pas toutes ces galères ! Mais bon.
    La ristourne moi j’en ai une ! Le tarif réduit RATP ! Mais pour ça, il faut faire 3 enfants.
    Bon courage ! Hihi

  5. CaliKen avril 13, 2013 11:01  

    J’essaie tous les jours Laurène. Tous les jours…

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