Les 5 petits ending qui restent – Game Boy

On est très geekounet en ce moment sur CaliKen point effer. J’utiliserais même le néologisme « nostalgeek ». Voilà, c’est fait, c’est dit. Il ne me reste plus qu’à placer le mot « vidéoludique » et je gagne un point bonheur.

Enfin bref, voici une petite sélection très personnelle d’ending de jeux vidéo qui m’ont marqué, sur Game Boy. Parce qu’à l’époque, terminer un jeu, vu mon âge, ma dextérité et mon impressionnabilité, et bah, c’était quelque chose !

Il risque d’y avoir des spoilers, mais vu l’âge des jeux qu’on va voir, il y a procuration depuis belle lurette, alors remballe tes avocats, mec ! Il y aura certainement des petites séries dans le genre prochainement, sur d’autres plateformes, comme la Super Nintendo, le PC, ou encore, le frigo Electrolux de Mamie.

Megaman 3 (sur Game Boy, j’insiste, ce n’est pas le même générique de fin !)

La folie, des heures passées à lutter sur un soft bien hard. Et cette musique qui me fait prendre conscience de la tâche accomplie. Et que Rockman, bah c’est un putain de héros quand même.

Super Mario Land

Faut pas déconner non plus, Mario Land, je l’ai refait récemment, il se termine rapidos, avec quelques passages tendus. Mais à l’époque, ça me paraissait le bout du monde. Et cette princesse qui se transformait en monstre à chaque boss ! Là, c’est la délivrance, c’est enfin elle, et en plus, on s’envole en avion avec une musique héroïque qui me fait des prouesses dans le zizi. Oui, des prouesses dans le zizi.

World Cup (Game Boy, j’insiste encore !) ALLEZ DIRECTEMENT A LA DIXIEME MINUTE !

Mon premier jeu Game Boy ! Sérieusement ! Pour info, on voit toute la finale, et le mec qui a filmé son exploit a pris l’équipe la plus nulle : le Cameroun. La musique de fin m’avait paru dingue, alors qu’elle est giga simple… Mais bon… On peut également souligner que c’est un jeu créé par le papa de Double Dragon, Monsieur Yoshihisa Kishimito

Super Mario Land 3 (Wario Land)

La série des Super Mario Land poutrait vraiment, et offrait des jeux de plateforme dignes de ce nom à notre bonne vieille Game Boy, mais alors là, Wario Land allait encore plus loin. Avec une fin à multiples visages suivant l’argent et les trésors qu’on gagnait, puisque le monde est tellement pourritos dans Wario Land que même les génies ne réalisent les vœux que moyennant finances ! Surtout que le pauvre Wario, plus looser que bad boy, ne veut qu’une chose : avoir un petit chez soi. Du coup, suivant nos économies, on termine le jeu avec une maison dans un tronc d’arbre ou, comme c’est le cas ici : proprio de la lune. Et la petite musique qui suit est toute mignonne, comme je les aime !

Tetris

« Dièse les souvenirs », ai-je envie de dire. Les cris d’enfants, les petites questions du genre « tu as vue la grosse fusée ou juste la petite ? » et oui, parce qu’il y avait aussi le B Mode dans Tetris sur Game Boy, et si on le terminait à fond, on avait la grosse fusée. Tandis qu’on avait qu’une petite fusée dans le mode normal. Souvenirs..

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