Câlin, câlin, câlinette…
Câlin, câlin, câlinou…

Voici une des ritournelles de l’un des livres sonores de mon bébé, et comme souvent, elle me met la larme à l’œil. Le câlin est quelque chose de très personnel, qui nous ramène à l’enfance, à nous-même. Comme souvent, j’ai pris « La Câlinothérapie » un peu au hasard, dans ma médiathèque. C’est d’ailleurs le principe de base de cette rubrique « book’o’pif« . Une lecture plaisante et on ne peut plus informative : je ne m’imaginais pas que le câlin était aussi important !

Câlin

Céline Rivière est psychologue, et son bouquin est une mine d’or d’infos en tout genre sur le câlin, mais aussi la façon dont notre corps fonctionne. Par exemple, sachez que nous disposons de neurones miroirs, qui s’activent face à une personne et sont responsables de notre empathie. Une des raisons qui fait que l’on baille en voyant quelqu’un bailler, par exemple.

On y parle aussi d’épigénétique, et rien que ça, ça m’a mis à l’envers. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais en gros, cela va à l’encontre du déterminisme supposé de notre ADN : passionnant.

Câlinette

Je ne vais pas rentrer dans les explications techniques fournies par le bouquin (qui reste, je te rassure, très accessible), mais on est vraiment scotché du début à la fin par les effets médicaux prouvés du câlin.

Face à nos sociétés de plus en plus stressantes, rythmées par le sacro saint métro boulot dodo, le câlin offre une parenthèse vitale qui peut, au delà d’un simple réconfort, réduire les risques de maladie et, de fait, augmenter l’espérance de vie.

Mais qu’est-ce que tu fiches encore devant ce blog ? Va emprunter ou acheter ce livre dans ta meilleure crèmerie et cours faire un câlin à ton doudou/copain/copine/plante/gilet/maman/papa/sacderiz

Ca va te sauver la vie.