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Il y a plus d’un an, j’ai fait l’acquisition de la Retroid Pocket 2. Une petite console de poche, tournant sous Android, et capable d’émuler moults jeux vidéosses du passé, de nos bonnes vieilles ATARI aux plus récentes consoles Nintendo 64 et Playstation première du nom. (Bien entendu, pour rester dans la légalité, il faut posséder les jeux originaux ainsi que les consoles, ça, tu le sais). Satisfait de l’achat, j’ai pourtant peu utilisé la console, ayant passé plus de temps à la bidouiller qu’à m’en servir réellement.

Avec la sortie de la Retroid Pocket 2+, je te le dis les yeux dans les yeux Françoise, les choses vont changer.

Retroid Pocket 2+ kézako ?

La RP2+ propose une version finalisée de la RP2, à savoir, un meilleur processeur, un meilleur processeur graphique, plus de mémoire vive et quelques autres ajouts sympas, comme la dernière version de l’interface Android et des vibrations, pour toujours plus de plaisir et même, un écran tactile.

J’aime beaucoup la gueule de cette console, surtout dans sa version Super Nintendo, ici présente ! (la mienne)

La RP2+ propose une interface plus rapide, plus intuitive et globalement meilleure que sa grande sœur. Les jeux tournent très bien, excepté certaines exceptions, et ce, jusqu’à la Nintendo 64, voire même la Dreamcast. Ensuite, sur le papier, la Retroid Pocket 2+ peut faire tourner Playstation 2 et Game Cube. Dans l’absolu, c’est bien plus compliqué. Il faudra faire beaucoup de bidouillage sur les émulateurs pour réussir à faire tourner une courte liste de jeux, mais il y a tout de même de belles surprises. Après quelques heures de paramétrages, j’ai pu faire tourner presque parfaitement Zelda Wind Waker : on peut saluer l’exploit. 

 

Tu aimes les tableaux comparatifs et techniques hein ? Hein ?

Deux options d’achat

Soit on veut une toute nouvelle console, et on achète une Retroid Pocket 2+ entière : il faut alors débourser 99 dollars, plus les frais de port. Soit on a déjà une Retroid Pocket 2, dans ce cas là, on achète juste la carte mère, on ouvre le monstre, et quelques coups de tournevis plus tard (et quelques sueurs froides pour moi) on obtient la nouvelle console tant désirée. Dans ce cas là, pour avoir l’écran tactile, il faut l’acheter en rab également. L’opération, avec le montage à faire soi-même, est bien entendu moins onéreuse : 65 dollars, plus les frais de port. Une belle économie tout de même.

Voilà ce qu’on reçoit quand on commande juste la mise à jour RP2+. Il faut mettre les mains dans le cambouis !

L’histoire du jeu vidéo dans la main

Clairement, vu son prix plutôt accessible pour le contenu de la console, son accessibilité bien plus grande que la précédente version, et sa puissance : je vous conseille vraiment la Retroid Pocket 2+. Avec un minimum de recherche, on peut se retrouver avec un énorme catalogue des jeux de notre enfance au creux de nos grosses mains boudinées, et ça, c’est vraiment sympa. Cerise sur le pixel, la console peut se brancher à un port HDMI, et on peut donc jouer facilement sur une télé ou un écran d’ordi. Seul ou à plusieurs, puisqu’avec le Bluetooth, on peut même ajouter plusieurs manettes, très facilement.

 

Si j’avais été un peu tiède sur la première version de la RP2, cette version upgradée est vraiment sympatoche. Attention, si vous vous lancez dans le montage, ce n’est pas forcément très facile, mais ça se tente.

Toutes les infos sont sur le site du constructeur : ça mérite d’y jeter un coup d’œil. 

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