Tu es sur Paris, tu recherches un moment musical sympa et original ? J’ai ce qu’il te faut baby !

Samedi 29 Novembre et Mercredi 3 Décembre, 20h30, Guillaume Farley clôturera ses concerts à la Manufacture de la Chanson avec deux dernière pépites musicales, qu’il serait dommage d’ignorer.

Guillaume Farley, c’est l’artiste dont je vous parle depuis un bon bout de temps maintenant. (Dommage d’ailleurs que mon ancien blog ait disparu, mon premier billet sur lui avec !). J’avais eu l’occasion de faire une loooongue interview de Guillaume sur CaliKen.fr. Bref, soyons succin, pour une fois :

Tu ne connais pas l’artiste

Tu vas découvrir un univers, un personnage et une ambiance qui vont te transporter. Entre variété assumée, compos tantôt drôles, tantôt poignantes, ce spectacle est vivant. Et pourtant, le bougre n’a qu’une guitare, une basse, deux micros et un looper. Et ça lui suffit pour orchestrer des morceaux que l’on retient, qui font taper du pied ou qui mettent la larmichette à l’œil. Parce que loin d’être juste un excellent musicien et se contenter d’une technique de malade mental, Guillaume possède ce petit truc en plus qui font que ses textes ciselés, sans rentrer dans une poésie complexe et inaccessible, viennent te percuter l’âme à vitesse Mach 3.

Tu connais déjà l’artiste

Tu vas pouvoir découvrir, avec intérêt, en quoi son univers musical s’est étoffé. En quelques années, j’ai vu Guillaume créer un univers plus proche de lui, de plus en plus touchant, tout en continuant à maîtriser de bout en bout ses instruments, guitare, basse et chant. « J’ai soif de show à mort », je me souviens de ces mots, et on peut le dire qu’il les applique, que ce soit dans son accueil du public, dans sa façon de jouer avec lui, et dans ces moments où la musique recule d’un pas et le one-man show n’est pas loin. Et c’est là que tu te retrouves avec tout un public qui fredonne du Michael Jackson, avec Guillaume assis derrière, en train de nous briefer ! Un spectacle complet en somme.

Alors n’hésite plus, prépare ton Samedi 29 Novembre et/ou ton Mercredi 3 Décembre, ou commence à suivre très sérieusement ce Monsieur, dont le second album sort tout bientôt. Avec ce que j’ai pu voir et surtout entendre de lui ces derniers temps, il me parait inconcevable qu’il n’explose pas médiatiquement dans un futur proche. Du moins, c’est tout le mal que je lui souhaite. Et quand bien même les choses traînassent un peu, et si ça reste encore un peu confidentiel, c’est toujours un plaisir de découvrir, dans des salles intimistes, un musicien de ce calibre et de cette générosité.