Me voilà toussant, pleurant, marchant dans les rues embrumées. Vous m’ignorez, je ne dis rien, vous me gênez, vous n’en avez cure. Quand bien même ouvrirais-je la bouche pour vous dire quelque chose, vous hurleriez.
Oui, la loi Evin est passée par là, vous n’avez plus de liberté, plus le droit de fumer en discothèque, dans les lieux publics, théoriquement en terrasse et dans les gares, dans les bars. La moindre des choses est de pouvoir fumer dehors, à l’air libre, vous ne dérangez personne, que je vous laisse donc cette dernière liberté ; vous souffrez déjà de la hausse du prix du paquet, de ces avertissements débiles sur les risques liés au tabac et imprimés sur chaque carton, et puis vous savez très bien ce que vous encourez à fumer ainsi… vous n’êtes plus un enfant que diable !
Une douce envie de sodomie m’envahit soudain. Plonger mon pénis dans le sable et te déchirer le rectum à grand coup de gourdin, chaque grain de quartz t’écorchant le fondement. Si tu savais combien j’ai envie de te vomir dessus à chaque fois que je sens ta clope. Parce que n’oublie jamais que, quoique tu dises, tes sens sont tellement amoindris par cette merde que tu es incapable de savoir que tu pues au plus haut point, même une fois que ta cigarette est éteinte. La preuve : il n’y a pas plus intolérant que les anciens fumeurs, car ils sentent enfin l’odeurs qu’ils ont dégagée pendant des années. Et ouais mec, c’est pas moi qui gêne, c’est toi. Toi qui pollues mon air, toi qui pollues mes promenades tranquilles, toi qui pues le cendrier. J’ai le droit de vouloir respirer de l’air pur. J’ai le droit de vivre sans sentir your fucking shit MAN.
Et sache que quand je serai président du monde, je t’interdirai TOUS les lieux public, misérable fils de pute. Même la rue. Tu fumeras chez toi, ou dans des lieux spécialisés. Tout ça, c’est ta vie, c’est ton problème, que tu veuilles arrêter ou non. J’ai suffisament souffert, moi et tant d’autres personnes, de cette fuckin’ clope pour n’avoir aucun remord envers les fumeurs. Crache tes poumons chez toi, mais je ne veux plus que tu souilles mon air. Meurs dans un feu, celui que tu auras créé par mégarde en posant ton mégot sur le bord de ton lit.
La haine me consumme. C’est moi qui te fumerait BÂTARD.
Vos propos sont injurieux. Je vous propose de vous joindre à notre colloque qui aura lieux sur le lieu de travail de votre ami ESCOUBET, dans quelques semaines, afin d’en discuter.
Cet enculeur de porc ? Mon ami ? NON MAIS OH !
La seule chose qui devrait être autorisé à être fumée, c’est le boudoir et sa douce odeur de caramel dur et puissant. Du reste, ce devrait être publié dans tous les journaux dignes d’être lus afin que les fumeurs prennent conscience du poids qu’ils sont pour la majorité saine et amatrice d’air non dégradé par les effluves de Malboro
On en parle des tag en bas de l’article ou pas ? 🙂