[Resto] Alice Pizza. Du sexe et de la mozzarella

Qu’est-ce que je faisais à Pigalle Vendredi soir ? Non mais est-ce que je t’en pose des questions ? Si je voulais étaler ma vie privée, j’aurais créé un blog depuis belle lurette.

Bref. J’étais à Pigalle, et j’avais faim. Faim de pizza. J’ai donc demandé à Siri de me trouver une pizzeria bien cool. La première avait de très mauvais avis sur le net, mais la seconde, Alice Pizza, était tellement bien évaluée que j’ai cru au piège. Mais je n’ai pas peur des pièges. Pas peur. Et du coup, direction le 4 Rue Dancourt, 75018 Paris, le cœur plein de promesses.

Un vendredi soir, restaurant quasi vide, cela fait peur. Pourtant, la déco lounge me rassure rapidement. Installation, grands verres sur la table, serveuse sympa mais pas trop. Mais on est là pour manger des pizze, mec, pas pour parler de la pluie et du beau temps.

Premier Giga Point : le choix. Des tonnes de pizze, avec de la base crème fraîche, de la base tomate. Elles ne sont pas giga chères en plus. Ca fait plaisir pour un resto classe comme ça et à deux pas d’un quartier qui bouge à mortadelle

Second Giga Point : la description. C’est la première fois que je lis de telles choses sur une carte. Ici, on ne se contente pas d’énumérer les ingrédients, mais on décrit avec détail et littérarité les délicieuses pizze. Délicieuses, on ne le sait pas encore mais…

Troisième Giga Point : La pizza de l’amour. Après le choix, place à la dégustation. Les pizze sont pas énormes, mais la pâte est délicieuse. Elles sont garnies de façon élégantes, ni trop ni pas assez, et on sent qu’on s’est appliqué dessus. Pas trop grasse, mais pas légères comme des mamies anorexiques. Et surtout, dé-li-cieuses.

Dommage cependant que le dessert soit un peu chiche kébab et que le coup de la bouteille « vous payez ce que vous avez consommez » n’ait pas été appliqué. Oui, ok, j’aurai pu gueuler, je ne l’ai pas fait. Je suis faible.

Mais vraiment, très bonne impression. Je vous recommande cette pizza, avant de faire quelques emplettes dans les sexe-shop du coin, ou faire un tour dans les clubs échangistes et animaliers.


3 Comments

  1. NiWard mars 6, 2012 1:22  

    Quoi, dans ton pays, quand tu finis pas la bouteille, tu peux demander à ne pas tout payer? Chez nous, on l’emporte et on la finit à la maison. #Bretagne

  2. CaliKen mars 6, 2012 2:42  

    Bah, voyant que l’addition comportait la bouteille entière, j’ai tout versé dans l’énorme verre qu’on avait et j’ai bu d’une traite.

    mpm.

  3. Pithou mars 6, 2012 4:16  

    Buuuuuuuuuuurp !

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